En 1339, Jean Chariot, bourgeois d'Arras, fonde un hôpital confié à douze veuves.

En 1556, elles sont remplacées par 12 sœurs Franciscaines de la Celle, appelées Sœurs Grises qu'on appela Chariotes (pour Chariot, le fondateur de l’hôpital) . Les religieuses devaient "soigner les infirmes et loger des passants pauvres".

Les soeurs Franciscaines, dites Sœurs de "la Celle" s'y établissent et s'occupent des orphelins.

L'hôpital civil est confié en 1429 à des Sœurs Franciscaines

En 1408, l'hôpital Saint Jean était destiné à loger, nourrir les pauvres pèlerins pour une nuit. Afin de recevoir de façon continue les pauvres et les malades, on fait appel à des Sœurs Franciscaines que l'on appelait des Sieurs de la Faille en 1434. Ces religieuses étaient estimées et se signalèrent dans les épidémies, spécialement pendant la peste de 1636-1637.

L'hôpital était desservi par des infirmières laïques; en 1495 on fait appel aux Sœurs Grises venant de Saint-Pol. Elles étaient tenues de "loger, héberger et soigner tous les pauvres étrangers passant et repassant, même les malades contagieux, visiter et garder les malades dans la ville, et les faubourgs, partout où elles seraient requises tant de jour que de nuit, et même ensevelir les morts".

En 1659, des femmes pieuses et charitables sont chargées de la Chambre des Pauvres.

En 1755, elles sont remplacées par les Filles de la Charité expulsées lors de la Révolution.

Les 4 sœurs Franciscaines arrivèrent en 1807 à l'Hospice de Calais.

En 1555, les Franciscaines font leur entrée à l'hôpital, ce sont les Soeurs Noires de Saint-Pol appelées aussi Soeurs de la Celle. Elles prennent la charge de "soigner les malades, instruire et endoctriner les enfants". L'oeuvre se développe jusqu'à la Révolution.